Echéance professionnelle…

Livrer un projet, quand on bosse dans l’informatique, se résumer (quasiment) toujours de la même manière et avec un gros rush final. On a beau tirer des plans sur la comète, se dire plus jamais ça. On ne m’y reprendra plus et je ferai autrement la prochaine fois, il y a toujours un moment, où on replonge.Et j’ai à nouveau plongé. Pour autant j’ai bien repéré ce qui a merdé, cela fait des mois que j’en ai conscience et surtout que j’ai beau voulu intervenir pour changer ça, rien n’y a fait. A la manière de « Destination Finale » ce qui devait arriver, arriva. Je ne suis pas fataliste, mais plutôt réaliste. Je tente (et j’y arrive !) de moi m’énerver, de mieux m’expliquer avec Sweetheart pourquoi je suis un peu plus sous pression, pourquoi nos congés s’en vont…

On est loin de la perfection, mais en même temps, je n’y arriverai pas 😉

Le point positif dans ces échéances, c’est que malgré tout j’y arrive et que j’apprends de nouvelles choses à chaque fois. Souvent dans la douleur, mais j’apprends et j’avance.

Restons positif, dans quelques heures (trop !) le projet sera livré et viendra ensuite la phase la plus pénible… le débogage… Ensuite, seulement, viendra le temps du repos. C’est encore loin, mais rien que d’y penser, j’ai le sourire !

« L’amour, le travail, la famille, la religion, l’art, le patriotisme sont des mots vides de sens pour qui meurt de faim.  »
de William O. Henry