Mon congé paternité a touché à sa fin, une bien belle parenthèse dans une vie professionnelle, dans une vie tout court d’ailleurs. Qu’importe si les nuits étaient coupées, qu’importe si tout était rythmé autour de tâches répétitives. Ces derniers jours m’ont permis d’apprendre à vivre avec mon fils, de confirmer ce que je savais déjà : il y avait un avant et il y a un après.
En seulement trois semaines je me suis attaché à ce petit bonhomme, à ses petites grimaces, à sa petite frimousse et à son sommeil dans mes bras.
Je craignais ne plus avoir le temps pour rien à force de devoir m’en occuper. Si ce dernier point est vrai, on a beaucoup moins de temps qu’avant pour glandouiller à droite ou à gauche, ce n’est finalement pas bien grave d’être coincé à ne rien pouvoir faire quand on est occupé à regarder la petite bouillotte qui dort dans mes bras d’un profond sommeil, bercé par notre respiration.
Toutes les bonnes choses ayant une fin, la parenthèse du congé paternité se referme, et c’est le coeur un peu (très !!!) lourd que je suis retourné sur le chemin du travail… Avec une hâte, que la journée passe pour retrouver au plus vite ma petite famille qui m’attend à la maison, j’ai encore du mal à réaliser, mais nous ne sommes plus deux, mais trois 😉
Bon courage pour la reprise….
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merci 🙂
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Quand je te lit, j’ai l’impression d’entendre les 2 collègues qui ont eu des bébés en septembre comme toi 🙂
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😉
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